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Par humanite1 le 21 Septembre 2011 à 19:51
«Mais pour moi, que la croix de notre Seigneur Jésus Christ reste mon seul orgueil» (Ga 6, 14).
Padre Pio de Pietrelcina, comme l'Apôtre Paul, plaça la Croixde son Seigneur au sommet de sa vie et de son apostolat, comme sa force, sa sagesse et sa gloire. Enflammé d'amour pour Jésus Christ, il se conforma à lui dans l'offrande de lui-même pour le salut du monde. En suivant et en imitant le Crucifié, il fut si généreux et si parfait qu'il aurait pu dire: «Avec le Christ, je suis fixé à la croix: je vis, mais ce n'est plus moi, c'est le Christ qui vit en moi» (Ga 2, 19-20). Et les trésors de grâce que Dieu lui avait accordés avec une largesse singulière, il les distribua sans répit par son ministère, servant les hommes et les femmes qui accouraient à lui toujours plus nombreux, et engendrant une multitude de fils et de filles spirituels.
Ce digne disciple de saint François d'Assise naquit le 25 mai 1887 à Pietrelcina, dans l'archidiocèse de Bénévent, de Grazio Forgione et de Maria Giuseppa De Nunzio. Il fut baptisé le lendemain et reçut le nom de François. À 12 ans, il fit sa Confirmation et sa première communion.
À 16 ans, le 6 janvier 1903, il entra au noviciat de l'Ordre des Frères Mineurs Capucins à Morcone, où, le 22 du même mois, il revêtit l'habit franciscain et prit le nom de Frère Pio. Une fois achevée l'année du noviciat, il fit profession en émettant les vœux simples et, le 27 janvier 1907, les vœux solennels.
Après l'ordination sacerdotale, qu'il reçut le 10 août 1910 à Bénévent, il resta dans sa famille jusqu'en 1916, pour des raisons de santé. En septembre de la même année, il fut envoyé au couvent de San Giovanni Rotondo et il y demeura jusqu'à sa mort.
Enflammé de l'amour de Dieu et de l'amour du prochain, Padre Pio vécut pleinement sa vocation qui consistait à participer à la rédemption de l'homme, selon la mission spéciale qui caractérisa toute sa vie et qu'il réalisa par la direction spirituelle des fidèles, la réconciliation sacramentelle des pénitents et la célébration de l'Eucharistie. Le moment le plus éminent de son activité apostolique était celui où il célébrait la messe. Les fidèles qui y participaient y percevaient le sommet et la plénitude de sa spiritualité.
Dans le domaine de la charité sociale, il s'appliqua à soulager les souffrances et les misères de nombreuses familles, principalement par la fondation de la «Casa Sollievo della Sofferenza», inaugurée le 5 mai 1956.
Pour Padre Pio la foi était la vie: il voulait tout et faisait tout à la lumière de la foi. Il s'investissait continuellement dans la prière. Il passait la journée et une grande partie de la nuit en dialogue avec Dieu. Il disait: «Dans les livres nous cherchons Dieu, dans la prière nous le trouvons. La prière est la clé qui ouvre le cœur de Dieu». Sa foi le porta constamment à accepter la volonté mystérieuse de Dieu.
Il était en permanence immergé dans les réalités surnaturelles. Non seulement il était l'homme de l'espérance et de la confiance totale en Dieu, mais, par la parole et par l'exemple, il inspirait ces vertus à tous ceux qui l'approchaient.
L'amour de Dieu le remplissait, répondant à toutes ses attentes; la charité était le principe qui dirigeait ses journées: aimer Dieu et le faire aimer. Sa préoccupation particulière: grandir et faire grandir dans la charité.
Il manifesta le maximum de sa charité envers le prochain en accueillant, pendant plus de 50 ans, de très nombreuses personnes, qui accouraient à son ministère et à son confessionnal, à son conseil et à son réconfort. Il était comme assiégé : on le cherchait à l'église, à la sacristie, au couvent. Et il se donnait à tous, faisant revivre la foi, distribuant la grâce, portant la lumière. Mais il voyait l'image du Christ particulièrement dans les pauvres, en ceux qui souffrent ou qui sont malades, et il se donnait spécialement à eux.
Il a exercé de manière exemplaire la vertu de prudence, il agissait et conseillait à la lumière de Dieu.
Son intérêt était la gloire de Dieu et le bien des âmes. Il a traité toutes les personnes avec justice, loyauté et grand respect.
La vertu de force a brillé en lui. Il ne tarda pas à comprendre que son chemin serait celui de la croix, et il l'accepta aussitôt avec courage et par amour. Il fit l'expérience pendant de nombreuses années des souffrances de l'âme. Pendant des années, il supporta les souffrances de ses plaies avec une admirable sérénité.
Quand il fut objet d'enquêtes et que l'on restreignit son ministère sacerdotal, il accepta tout avec résignation et profonde humilité. Devant des accusations injustes et des calomnies, il sut toujours se taire, faisant confiance au jugement de Dieu, de ses supérieurs et de sa propre conscience.
Il employait habituellement la mortification pour obtenir la vertu de tempérance, conformément au style franciscain. Dans sa mentalité et dans son mode de vie, il était tempérant.
Conscient des engagements pris dans la vie consacrée, il observait avec générosité les vœux professés. Il a été obéissant en tout aux ordres de ses supérieurs, même lorsqu'ils étaient difficiles. Son obéissance était surnaturelle dans l'intention, universelle dans son étendue et intégrale dans son exécution. Il pratiqua l'esprit de pauvreté avec un total détachement de lui-même, des biens terrestres, des commodités et des honneurs. Il a toujours eu une grande prédilection pour la vertu de chasteté. Son comportement était modeste partout et avec tous.
Il s'estimait sincèrement inutile, indigne des dons de Dieu, rempli à la fois de misères et de faveurs divines. Face à l'admiration que lui portait beaucoup de monde, il répétait: «Je veux être seulement un pauvre frère qui prie».
Sa santé, depuis sa jeunesse, ne fut pas très florissante et, surtout au cours des dernières années de sa vie, elle déclina rapidement. «Sœur la mort» le frappa, alors qu'il était préparé et serein, le 23 septembre 1968, à l'âge de 81 ans. Ses obsèques furent célébrées en présence d'une foule tout à fait extraordinaire.
Le 20 février 1971, à peine trois ans après sa mort, parlant aux supérieurs de l'Ordre des Capucins, Paul VI disait de lui: «Regardez quelle renommée il a eue, quelle audience mondiale il a rassemblée autour de lui! Mais pourquoi? Peut-être parce qu'il était un philosophe? Parce qu'il était un sage? Parce qu'il avait des moyens à sa disposition? Parce qu'il célébrait la Messe avec humilité, confessait du matin au soir, et était, c'est difficile à dire, un représentant de notre Seigneur marqué de ses stigmates. C'était un homme de prière et de souffrance».
Déjà durant sa vie il jouissait d'une grande renommée de sainteté, due à ses vertus, à son esprit de prière, de sacrifice et de consécration totale au bien des âmes. Au cours des années qui ont suivi sa mort,la renommée de sa sainteté et de ses miracles est allée en se développant, devenant un phénomène ecclésial, répandu dans le monde entier, auprès de toutes les catégories de personnes.
Ainsi Dieu manifestait à l'Église sa volonté de glorifier sur terre son fidèle serviteur. Il ne se passa pas beaucoup de temps avant que l'Ordre des Frères Mineurs Capucins n'accomplît les étapes prévues par la loi canonique pour mettre en route la Cause de béatification et de canonisation. Toute chose examinée, le Saint-Siège, selon les normes du Motu proprio «Sanctitas clarior», concéda le Nihil obstat le 29 novembre 1982. L'Archevêque de Manfredonia put ainsi procéder à l'introduction de la Cause et à la réalisation du procès de reconnaissance (1983-1990). Le 7 décembre 1990, la Congrégation pour les Causes des Saints en reconnut la validité juridique. Une fois achevée la Positio, on discuta, comme d'habitude, pour savoir si Padre Pio avait pratiqué les vertus à un degré héroïque. Le 13 juin 1997, se tint l'assemblée spéciale des Consulteurs théologiens qui eut un résultat positif. Dans la session ordinaire du 21 octobre suivant, Mgr Andrea Maria Erba, Évêque de Velletri-Segni, étant chargé de la cause, les Cardinaux et les Évêques ont reconnu que Padre Pio de Pietrelcina a pratiqué à un degré héroïque les vertus théologales, cardinales et les autres.
Le 18 décembre 1997, en présence de Jean-Paul II, fut promulgué le décret sur l'héroïcité des vertus.
Pour la béatification de Padre Pio, la postulation a présenté au dicastère compétent la guérison de Madame Consiglia De Martino, de Salerne. À propos de ce cas, se déroula le Procès canonique régulier auprès du tribunal ecclésiastique de l'archidiocèse de Salerno-Campagna-Acerno, de juillet 1996 à juin 1997. Le 30 avril 1998, se tint, au siège de la Congrégation pour les Causes des Saints, l'examen du Conseil médical et, le 22 juin de la même année, l'assemblée spéciale des Consulteurs théologiens. Le 20 octobre suivant, au Vatican, se réunit la Congrégation ordinaire des Cardinaux et des Évêques membres du Dicastère. Le 21 décembre 1998, en présence de Jean-Paul II, fut promulgué le décret sur le miracle.
Le 2 mai 1999, place Saint-Pierre, au cours d'une célébration eucharistique solennelle, Sa Sainteté Jean-Paul II, de par son autorité apostolique, déclara Bienheureux le Vénérable Serviteur de Dieu Pio de Pietrelcina et établit la date du 23 septembre pour sa commémoration liturgique.
Pour la canonisation du Bienheureux Padre Pio, la postulation a présenté au dicastère compétent la guérison du petit Matteo Pio Colella de San Giovanni Rotondo. Le cas a été soumis à un procès canonique régulier devant le tribunal ecclésiastique de l'archidiocèse de Manfredonia-Vieste, du 11 juin au 17 octobre 2000. Le 23 octobre suivant, la documentation fut transmise à la Congrégation pour les causes des saints. Le 22 novembre 2001, à la Congrégation pour les causes des saints, on a procédé à l'étude de la consultation médicale. L'assemblée spéciale des théologiens consulteurs s'est tenue le 11 décembre et, le 18 du même mois, la session ordinaire des cardinaux et évêques. Le 20 décembre, en présence de Jean-Paul II, on a promulgué le décret sur le miracle. Le décret de canonisation a été promulgué le 26 février 2001.
Un peu plus sur Padre Pio
sources: Vatican
1 commentaire -
Par humanite1 le 27 Décembre 2005 à 16:44
HOMME: "Notre Père qui es aux cieux...<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
DIEU: Oui... Me voici... <o:p></o:p>
H: S'il vous plait, ne m'interrompez pas... je prie! <o:p></o:p>
D: Mais, tu m'as appelé... ! <o:p></o:p>
H: Appelé? Je n'ai appelé personne. Je prie... "Notre Père qui es aux cieux..." <o:p></o:p>
D: Ah!!! C'est encore toi? <o:p></o:p>
H: Comment? <o:p></o:p>
D: Tu m'as appelé! Tu as dit: "Notre Père qui es aux cieux". Me voici. Que puis-je faire pour toi? <o:p></o:p>
H: Je n'ai pas voulu appeler. Je prie. Je dis le Notre Père tous les jours, je me sens bien de le faire. C'est comme accomplir un devoir. Et je ne me sens pas bien si je ne le fais pas...<o:p></o:p>
D: Mais comment peux-tu dire Notre Père, sans penser que tous sont tes frères? Comment peux-tu dire "Qui es aux cieux" si tu ne sais pas que le ciel c'est la paix, que le ciel c'est l'amour pour tous? <o:p></o:p>
H: C'est que réellement je n'y avais pas pensé. <o:p></o:p>
D: Mais... Continue ta prière.<o:p></o:p>
H: Que ton Nom soit sanctifié... <o:p></o:p>
D: Attends un peu! Que veux-tu dire par là? <o:p></o:p>
H: Je veux dire... Je veux dire... ce que ça veut dire, comment puis-je le savoir? C'est simplement une partie de la prière! <o:p></o:p>
D: "Sanctifié" veut dire reconnu comme vrai père, qui donne vie à tout être, qui est digne de respect, saint, sacré..., qui met toute sa confiance en moi et non dans les compagnies d'assurance du monde. <o:p></o:p>
H: Maintenant, je comprends. Mais je n'avais jamais pensé au sens du mot SANCTIFIÉ.
H: Que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel..."<o:p></o:p>D: Es-ce que tu parles sérieusement?<o:p></o:p>
H: Bien sûr! Pourquoi pas?<o:p></o:p>
D: Et que fais-tu pour que cela se fasse?<o:p></o:p>
H: Comment, qu'est-ce que je fais? Rien! C'est une partie de la prière... Mais, à propos, ce serait bien que tu aies un peu le contrôle de ce qui arrive au ciel et sur la terre aussi.<o:p></o:p>
D: Est-ce que j'ai un peu le contrôle de ta vie?<o:p></o:p>
H: Eh bien... je vais à l'église!<o:p></o:p>
D: Ce n'est pas cela que je demande! Et la façon dont tu traites tes frères humains, la façon dont tu dépenses ton argent, le temps que tu accordes à la télévision, à Internet, les publicités que tu poursuis, et le peu de temps que tu me consacres?<o:p></o:p>
H: S'il te plait, arrête tes critiques!<o:p></o:p>
D: Excuse-moi. Je pensais que tu me demandais que ma volonté s'accomplisse. Si cela devait se faire... Que faire avec ceux qui prient et acceptent ma volonté, le froid, la chaleur, la pluie, la nature, la communauté...<o:p></o:p>
H: C'est vrai, tu as raison. Je n'accepte pas ta volonté, puisque je me plains de tout: si tu envois la pluie, je veux le soleil, si j'ai le soleil, je me plains de la chaleur; s'il fait froid, je continue de me plaindre; je demande la santé, et je n'en prends pas soin, je me nourris mal, je mange peu ou je mange trop... <o:p></o:p>
D: C'est bien de le reconnaître. On va travailler ensemble, toi et moi. On va avoir des victoires et des défaites. J'aime ta nouvelle attitude. <o:p></o:p>
H: Écoute, Seigneur... Il faut que je finisse maintenant. Cette prière prend beaucoup plus de temps que d'habitude... Je continue: "Donne-nous notre pain de ce jour..."<o:p></o:p>
D: Arrête! Me demandes-tu du pain matériel? L'homme ne vit pas de pain seulement, il vit aussi de Ma Parole. Quand tu me demandes du pain, souviens-toi de tous ceux qui n'en ont pas. Tu peux me demander ce que tu veux, considère-moi comme un Père aimant! Maintenant, je m'intéresse à la suite de ta prière...<o:p></o:p>
H: "Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé..."<o:p></o:p>
D: Et le frère (ou la soeur) que tu méprises?<o:p></o:p>
H: Seigneur! Il m'a trop critiqué, et ce n'était pas vrai. Maintenant, je n'arrive plus à lui pardonner. J'ai besoin de me venger...<o:p></o:p>
D: Mais... que veux-tu dire alors dans ta prière Tu m'as appelé et je suis à toi. Je désire que tu sortes d'ici transformer. J'aimerais que tu sois honnête. Mais ce n'est pas bon de porter le poids de la colère dans ton coeur. Tu comprends?<o:p></o:p>
H: Je comprends que je me sentirais mieux si je pouvais me venger...<o:p></o:p>
D: Non! Tu vas te sentir moins bien. La vengeance n'est pas si bonne qu'elle le paraît. Pense à la tristesse que tu vas provoquer, pense à ta tristesse actuelle. Je peux changer tout pour toi. Il suffit que tu le désires vraiment...<o:p></o:p>
H: Tu peux? Et comment?<o:p></o:p>
D: Pardonne à ton frère; et tu pourras goûter à mon pardon. Tu seras soulagé...<o:p></o:p>
H: Mais, Seigneur! J'en suis incapable!<o:p></o:p>
D: Alors, ne dis pas cette prière...!<o:p></o:p>
H: Tu as raison! Je voulais simplement me venger, mais ce que je veux vraiment c'est la paix! Alors, ça va, je pardonne à tout le monde, mais viens à mon aide! Montre-moi le chemin à suivre.<o:p></o:p>
D: Ce que tu demandes est merveilleux ! Je suis heureux avec toi... Et toi, comment te sens-tu maintenant?<o:p></o:p>
H: Bien, vraiment bien! A vrai dire, je ne m'étais jamais senti aussi bien... Cela fait du bien de parler avec Dieu...<o:p></o:p>
D: Maintenant, finissons la prière. Continue...<o:p></o:p>
H: "Et ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre nous du mal..."<o:p></o:p>
D: Excellent ! Je vais le faire, mais ne te mets pas dans des situations où tu peux être tenté.<o:p></o:p>
H: Et maintenant, que veux-tu dire par là?<o:p></o:p>
D: Cesse de marcher en compagnie de personnes qui te conduisent à participer à des affaires sales, cachées... Abandonne la méchanceté, la haine. Tout cela conduit vers des chemins trompeurs... N'utilise pas tout cela comme des sorties d'urgence...<o:p></o:p>
H: Je ne te comprends pas!<o:p></o:p>
D: Bien sûr que tu comprends! Tu as fait cela plusieurs fois avec moi. Tu prends des chemins erronés et puis tu cries au secours.<o:p></o:p>
H: J'en suis honteux, Seigneur, pardonne-moi!<o:p></o:p>
D: Évidemment, je te pardonne! Je pardonne toujours à celui qui est disposé à pardonner aussi. Mais quand tu m'appelleras de nouveau, souviens-toi de notre conversation, pense aux paroles que tu me dis ! Finis ta prière maintenant.<o:p></o:p>
H: Finir? Ah, oui, "AMEN!"<o:p></o:p>
D: Et que veut dire. "Amen"?<o:p></o:p>
H: Je ne sais pas. C'est la fin de la prière.<o:p></o:p>
D: Tu diras AMEN quand tu acceptes ce que je veux, quand tu es en accord avec ma volonté, quand tu suis mes commandements, car AMEN veut dire AINSI<o:p></o:p>
Soit-il, d'accord avec ce que l'on vient de dire... <o:p></o:p>
H: Merci, Seigneur de m'apprendre cette prière, et maintenant, merci aussi de m'en donner l'explication...<o:p></o:p>
D: J'aime tous mes enfants, et je préfère ceux qui veulent sortir de l'erreur, qui veulent se libérer du péché. Je te bénis ! Reste dans ma paix !<o:p></o:p>
H: Merci, Seigneur! Je suis heureux de savoir que tu es mon AMI !<o:p></o:p>
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